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9 septembre 2006 6 09 /09 /septembre /2006 22:56
 
Chers voyeurs écran-spectateurs,
 
En cette avant-veille de 11 septembre, jour anniversaire comme chacun sait des 25 ans de la restitution à l'Espagne du « Guernica » de Picasso par le MOMA, et avant les commémorations aéro-explosives qui pourraient bien nous brouter l'petit écran comme autant de moutons dévorent les pentes verdies sous le harnais d'une nature aussi orageuse qu'alpestre : sans réfléchir ; mais avec une vivacité qui force l'admiration, je m'en vais vous proposer, à travers votre Inedire TV « samedinical*(1) » préférée, trois programmes courts.
 
 
A tout seigneur, tout honneur : commençons je vous prie par l'exceptionnel Fellag.
 
 
Fellag, c'est du vrai comique de désespoir : Kafka au pays de la dictature. Un improbable (et savoureux) croisement entre le fatalisme slave, et le soleil de kabyle.
Humoriste absolu, à la finesse de traits toute devossienne, aux talents de conteur africain, aux idées saugrenues en cascades. C'est un Maure chez les vivants, bien plus vivant que la plèbe asservie. C'est un joueur de tout, autant que de lui même et, vous me pardonnerez, un putain d'acteur.
Des mots légers, des phrases lourdes et un sourire profond. S'il vous plait : allez le découvrir, au travers de l'un des Spectacles disponibles... Et revenez m’en dire des nouvelles !
 
Wallou ! Voilà ! Un extrait animalier : « la queue » :
 
 
 
 
Attardons-nous ensuite sur (le cas de) Mlle PEYROUX.
 
 
Madeleine Peyroux donc, que j'évoquais ici dès octobre dernier, tandis que je n'avais pas encore fait le choix désormais affermi de gaudrioles, et que pointaient alors bien trop d'intimité à mon goût.
 
A mes yeux et, surtout car je n'ai pas l'outrecuidance cartomanchienne*(2) voyante d'un Ray Charles : à mes oreilles, cette jeune femme représente la petite cousine imaginaire de Billie Holiday : un trésor à découvrir ici au travers de deux titres échangés à la télévision italienne contre une victoire en coupe du monde : « don't cry baby », une reprise de Bessie Smith et « don't wait too long », extrait du somptueux « careless love ». Pour ma part, je veux dîner un jour soir avec ces yeux !!
 
(p'tit remerciement à Laure L'Or qui me signala le nouvel album : en effet un bijou, comme le reste.)
 
 
 
Enfin, alors que je suis bien trop couard pour vous exposer, en d'authentiques vidéos : Mahomet en string, Tom Cruise à la toute puissante banque de scientologie ou Yavé en César morituri te salutant*(3), je vous propose aujourd'hui de vous attarder sur les douleurs mésestimées d'un indépendantiste palestinien contemporain dont le prénom ne nous a pourtant pas été communiqué par le vatican son service de presse*(4).
 
 
 
 
Voilà ! C'est tout pour aujourd'hui, mais demain est un autre jour (Comme disent parfois certains esquimaux, un brin caustiques)
 
Si tout va bien, et si le temps irakien le permet, nous évoquerons la semaine prochaine des caméras cachées, une séance aquatique avec Benoit XVI (aucun poisson n'a pour l'instant, en l'état de brouillon du texte, été blessé), au travers d'une p'tite découverte variétoche agréable, et de pizza voyageuses (mais non spatiales)
 
 
 
Bonjour chez vous !
 
 
 
AnT, de chez Smith en face, chips et soda non fournis
xxx
 
(ceci est un message subliminal)
Je recherche toujours tous travaux d’écriture, même manuels, hein …
et ma plume est à vendre !
(ceci est un message subliminal)
 
 
Pour votre information : l'article précédent, tardivement mis en ligne, n'intéressera pas grand monde je pense : il cause de sexe, et d'argent.
 
*(1) si quelqu'un dispose de la forme adjective des jours de la semaine : je suis preneur...
 
*(2) Qui n’est pas la cartographie érotique d’un manche, je le précise pour nos auditeurs malentendants de la main droite...
 
*(3) je présente mes confuses pour cette indignité Almanach-vermotesque : z’avais envie.
  
*(4) A la rubrique : « les preuves de l’éternité de Jésus », les curés ont décidé le dogme à se plier au disco, au travers de cet  « I will survive » : cette vidéo, tournée le 13 juin peu avant midi,  est donc bien considérée comme une preuve de l’existence de Dieu. Impies ! Tremblez !!
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8 septembre 2006 5 08 /09 /septembre /2006 14:07

L’arbre qui cache (mal) la forêt.

 
Chers voyeurs écrans-spectateurs.
 
Je vais aujourd'hui vous démontrer, et par l'exemple comme il se doit, pourquoi les billets, ça ne pousse pas dans les arbres. Non.
 
 
La scène, fort anodine au départ, se déroula hier : jeudi 7 septembre 2006 de la calendaire  christique.
Je me rendis alors au pressing, pour y déposer un pull marine (sans toucher le moindre poil adjanien droit d’auteur, soit écrit en passant) récemment souillé.
La discussion avec la vendeuse, une quinquagénaire ordinaire à pétulance de centre commercial, s'engage. Sur de forts bons augures je dois dire écrire, puisqu'elle me signala un bijou oublié sur le vêtement par la Belle Humaine qui me le confiait peu avant.
 
Au moment de régler : une consultation expresse de mon porte monnaie révéla la triste vérité : mon solde était insuffisant, j'en étais réduit à me faire les poches, comme le premier pickpocket victime de la maladie d’Alzheimer venu.
Palpation de poche donc, et billet de 20 sous la main : je suis sauvé du ridicule consumériste qu’éprouve parfois les pauvres qui souhaitent acheter au dessus de leurs petits moyens.!
 
Je tends donc le précieux sésame monétaire vers l’aspirante rombière à chapeau, qui ne portait alors pas de chapeau, quand soudain, tandis que je m'apprêtais à m'en mutiler dépouiller séparer : le dit billet, encore plié mais manifestement bien réveillé, sauta*(1) sans crier « gare*(2) ! » de mes mains, dans en la direction précise de la dame (qui n'était pourtant pas si désirable, je vous assure).
 
 
Elle le rattrape... assez facilement (alors qu'on devine qu'elle n'était pas, en sa désormais lointaine jeunesse, la preum’s en sport du lycée).
 
 
Elle de sourire, et, toute fière, d’improviser dans un éclair de lucidité malicieuse exceptionnel en ce plein milieu d'après-midi de centre commercial, cette affirmation délicieusement saugrenue :
« Il est vivant ! » Puis de me rendre la monnaie, dans la grâce inespérée d'un sourire sincère.
 
Et moi de répondre, sans tactique, du tac au tac :
« Faudrait que j'en trouve un autre, pour qu'ils puissent se reproduire ! »
 
Des fois, j'ai de jolies idées, moi.
 
Vous ne trouvez pas ?
 
 
Et puis... C'est presque la preuve que les pièces, ce n’est pas la peine de les planter : ça ne pousse pas ! Non plus que les billets ne tombent des arbres, non !!
 
Non.
 
La vérité, je vais, moi simple contribuable, vous la dire, nue :
 
Les billets, ils niquent dans les bosquets des jardins de la banque de France. C'est pour cela que les murs en sont hauts : c'est pour préserver la morale et nos vos les enfants.
 
Je sais, de plus, que ces pauvres bêtes, elles fatiguent en ce moment, comme chez leur congénères humains : les billets mâles ne peuvent aujourd'hui plus suivre les cadences sexuelles infernales imposées par les femelles. Et ils baissent leurs petits bras de billets de banque, en lieu et place de leur boxer de marque. Et ils se reproduisent moins, accessoirement.
 
Et après, on s'étonne de manquer de blé, d'oseille ...
 
C’est que, les billets de banques, ils sont occupés à monter dans les arbres pour échapper aux femelles. Donc, les billets, ils ne poussent pas dans les arbres : ils se cachent et se reposent !
 
CQFD.
 
 
 
Bonjour chez vous…
 
 
 
AnT, de chez Smith en face, dans le rouge aussi, souvent
xxx
 
PS : Suite à l'article d'hier, les plaintes de Messieurs jaques Brel, Miles Davis, et Joe Strummer sont jugées recevables : ils sont pour moi d'authentiques références.
En revanche, les allégations de monsieur Douste-Blazy (A.K.A. « Le con d'orsay » ou « Mickey d'Orsay »), ainsi que celles de Jean-Gabriel Leroy de la Raie : sont déclarées infondées : je ne les considère donc pas comme constitutifs de mon être.
 
Remerciements :
G., par courriel, ce 8 septembre 2006
 
« Hourra pour le retour d’Inédire ! Pour les chats dans les réfrigérateurs, les araignées au plafond, et les clés à molettes qui décorent les aquariums… Et merci pour les sourires que ces nouvelles chroniques suscitent. »
 
Merci......
*(1) Je ne sais encore aujourd'hui, avec exactitude, si l'argent me brule mes p'tits doigts de pyromane, ce qui est vrai, ou si j'avais de l'argent sale à faire blanchir par la chafouine commerçante, ce qui est faux
 
*(2) ni  « train ! » ni même « pony express ! »
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7 septembre 2006 4 07 /09 /septembre /2006 12:00
 
Ceci est un monument de papier
 
Chers voyeurs écrans-spectateurs,
 
La nature le sait bien, elle qui a horreur du vide : les générations spontanées, ça n'existe pas*(1) !
 
Mais alors, me demande-je, interloqué : d'où me vient mon humour*(1.5), moi qui suis issu de générations de militaires à peine croisés avec des naines charolaises Bretonnes excentriques ?
 
De Desproges assurément !
 
De Devos, je l'espère !
 
De Pierre Doris, à qui l'on doit tout !
 
De Dac et Blanche, les fous-furieux ...
 
Et d'Audiard, un peu ?
 
D'Alphonse Allais pour l'élégance ?
 
D'un regard mieux dressé qu'une puce de combat à isoler d'une expression un calembour, d'un mot une exégèse ?
 
Et de l'Almanach Vermot, forcément !
 
 
Je me faisais cette réflexion en constatant, atterré, combien « le monde selon Bush*(2) » était terrifiant.
 
 
Mais alors, que lui préférer ? « Le monde selon Coude » ? « Le Monde selon Langue » ?
 
 
 
C'est malin, maintenant, je suis dans le doute.
Et vous ?
 
 
 
Bonjour chez vous !
 
 
 
AnT, de chez Smith en face, qui ferait mieux de dormir !
xxx
 
*(1) bac moins 2 les amis !
 
*(1.5) cet humour si singulier, si salvateur, et si réputé qu’il contribuerait à rendre les gens heureux d’un sourire, parfois.
 
*(2) Un président chrétien évangéliste enragé, et sécuritaire (un peu comme le roquet hongrois potentiel, mais en plus puissant)
 
*(3) Fonce ! c'est salvateur : c'est instrutif ! et oui les amis, vous l'aurez remarqué, il n'y avait pas de note "3". Dingue, non ?
 
 
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6 septembre 2006 3 06 /09 /septembre /2006 12:24
Ceci est un cercueil pour chat, électrique.
 
 
Chers voyeurs écrans-spectateurs,
 
 
C'est tandis que je me posais des interrogations surprises (et que j'y répondais avec la note maximale, les félicitations du jury, le sourire de la bourgeoise et les palmes académichiennes comme d'hab"), que j'eu cette vision.
 
C'était le 13 janvier 2006. Le temps en ce jour, même à Marseille où j'habitais alors, grisonnait comme en automne.
Mais le temps ! Le temps !
Comme s'il n'y avait rien d'autre !!
 
Une vision *(1), donc.
 
 
Mais pas n'importe laquelle, non ! 
Une vision, une vraie.
Pas du Paco Rabane de contrebande, du Affelou de pacotille, ou du « optic' 2007 des vanité féconde d'un Sarkozy*(2) assoiffée d’autant de pouvoir que de haine ».
 
Que nenni !
 
Une vision, vous dis-je !
 
Pour vous situer, un peu comme Elwood Blues devant les sermons du révèrent Cléophus James :
- Elwood, Elwood, tu voiiiis la lumièèère ?
- La Lumière ! Oui ! L'orchestre ! Par Jésus et Saint Fred Astaire !!!
 
Philippe Douste-Blazy, qui n'est pas une lumière, reste dans le noir, merci.
 
 
Une vision. Bien.
 
 
J'étais nu. Enfin, nu… Une feuille de vigne sur ma cuisse droite s'était à peine posée qu'un vent habile l'en chassa. Et quand on sait qu'un rien m'habille à Kinshasa...
 
Mais je babille sur les cadres et les extérieurs. Reprenons le chemin de notre caméra et passons en plan moyen.
 
L'air est moite, il fait chaud, tendance tenace. Le geste se paye comptant, en sueur.
 
Quand j'me dis soudain (je me parle souvent) : « tiens, j'me prendrais bien une bière*(3) ! »
 
(avouez qu'il y a de l'action à défaut de suspens, dans cette histoire)
 
Hop. Ni une, ni deux*(4) : traveling avant vers le réfrigérateur (la glacière, ça fait trop champêtre pour moi et puis : j'étais chez moi ...)
 
 
Silence caméra. Gros plan. Clap. Action.
 
Ma main qui ouvre le réfrigérateur, et se dirige d'une démarche assurée, confiante, vers l'emplacement où sont rangées les bières.
 
C'est alors que tout bascula.
 
L'imprévu.
 
L'improbable.
 
Terrifiant !
 
 
Il y avait, en lieu et place du vide qu'aurait du rencontrer la main, toute prise qu'elle était à calculer sa trajectoire inconsciente vers sa destinée boisson salvatrice, autre chose que du vide.
 
Et cela avait des poils, aussi.
 
Ouep ! Pas vide et avec des poils !
 
 
Un chaton !
 
 
Steak sur pattes, avant congélation.
 
 
Un chaton dans mon réfrigérateur !!
 
J'ai d'abord refermé la porte. Violemment, vous comprenez ?
 
Puis j'me suis dis qu'il faisait quand même vach'ment soif, et qu'ma bière n'allait pas se payer des vacances longtemps, au frais de la princesse dans mon réfrigérateur.
 
Je suis donc retourné très vite à la charge, j'ai pris une bière, et j'ai refermé plus vite encore.
Ça fait peur, un réfrigérateur avec un chaton dedans !
 
 
« Monde de merde !*(5) », me dis-je alors, abattu de ce trop plein de tristesse qui parfois abat des arbres dans une tristesse de silence.
 
Ça fait peur, un réfrigérateur avec un chaton dedans !
 
Même quand c'est le sien*(6) ! Surtout quand c'est le sien *(6) !!
 
 
En plus, j'aurais dû prendre deux bières !!
 
 
Pendant des mois je n'ai plus mangé frais.
Aujourd'hui, je vis dans la crainte.
 
Car il y avait...
 
Un chaton dans mon réfrigérateur !
 
 
Si seulement, comme disait freud, tout pouvait être aussi facile que de cliquer sur « effacer » avec un ordinateur !
 
 
Bonjour chez vous...
 
 
 
AnT, de chez Smith en face : attardé, ou simplement lent ?
xxx
 
 
PS : si ce billet vous a fait rire, vous êtes libre de m'inviter à dîner chez vous. Si possible en compagnie de Marie Drucker. Sinon, me demander de vous accompagner à une soirée échangiste à laquelle participerait la dite déesse cacochyme cathodique conviendrait également à ma libido dilatée. Merci de votre attention à la marche.
 
Bonus exceptionnel : les trois compiles Inedire !
Normalement, c’est réservé aux abonnés alors téléchargez, découvrez, et abonnez-vous : c’est gratuit !

 
* le titre est signé de Mlle L'Or, dont vous pouvez désormais penser qu'elle ne vaut pas mieux que moi ! Au fait : nous sommes le 7 septembre : Bon anniversaire ! Vous avez aimé, jeune muette ?
 
*(1) Et pas une "visio", comme vient de le lire l'obsédé de la cam' !
 
*(2) attention, le lien proposé n'a rien à vois avec Nicolas Sarkozy, mais je l'aime bien quand même, et vous, vous cliquez trop vite !
 
*(3) Je n'ai pas dit « Une Guiness ! » Tu te calmes, Sister !
 
*(4) Ni « Napoléon ! », ni « Robespierre ! »
 
*(5) libre expression de mon dépit désorienté. 
 
*(6) de chaton, pas de réfrigérateur, faut suivre ! (ou l'inverse ? J'ai un doute, soudain...)
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5 septembre 2006 2 05 /09 /septembre /2006 12:29
Ps (pre scriptum) : chère Fabienne, je bog-day-ise quand je veux, et pour moi, ce sera ce mardi en hommage au mardi 5 septembre, pour sa plus totale insignifiance se devant d’être relevée.
 
 
Ceci est une planète Loz Xoc. Si vous ne me croyez pas : recherchez sur googol, vous verrez...
 
 
 
Chers voyeurs écrans-spectateurs,
 
 
 
Sur la suggestion suggestive de Fabienne, donc (qui ne s'est pourtant pas, et à notre grand regret à tous, déshabillée pour l'occasion), c'était aujourd'hui hier il y a peu le « Bloody BLOGDAY ».
« Dieu » avait son jour réservé, et le « blogueur » se prenant pour « dieu » : ce qui devait arriver arriva…*(0) Si vous voulez, c'est un genre de concept marketing : un peu comme une marque de lessive, mais cela concerne les blogs*(1)) 
 
 
Et bien, moi aussi : j'aime me fondre, ainsi qu'un ami en chocolat*(2) qui fut des mes connaissances digestives, dans la masse anonyme des retardataires.
 
C'est pourquoi, un "tantinet décalé dans mes horaires", et même si je doute de la pertinence d'une telle non-manifestation, puisque la rubrique « liens » existe déjà ici comme partout, je vais ici vous présenter quelques blogues que je fréquente régulièrement, sans les avoir (encore) adjoints à mes favoris.
 
 
(attention, ce titre est judicieux, et pas racoleur)
Parce que, bien loin des complaisances politichiennes, ce blog de journaliste témoigne avec vivacité et envie de ce qu'est l'Europe politique d'aujourd'hui. Merci, Jean Q.
 
 
 
Des états d'âme féminins et transatlantiques... Elle parle de sexe (amoureux) comme d'autres s'oublient avec négligence. Elle est troublante, autant que son inconnu se suffit : ici, lointain. De plaisantes lectures, des états d'âme, peut-être avec une âme ? Je ne sais, mais j'y reviens, de loin en loin...
 
 
 
Témoignages, lorgnettes : le regard parfois affectueux, rarement complaisant, d'une correspondante du Monde aux États-Unis d'Amérique. On regrettera l'absence de Ségolène, parfois, mais pas trop.
 
 
 
S'il faut une semaine pour lire le quotidien « Le monstre Monde »*(3), comme me le rappelait au cours de l'une de nos conversations msnienne nocturnes miss Sister, il ne faut guère plus d'une minute pour récolter un sourire quotidien à la lecture de ce blogue. Seul regret : peu d'images à colorier. Tanpix, comme dirait le barde.
 
 
 
Tout simplement parce que, par touches, ce blogue ranime mon vieil amour du jazz, après des années de distances, et des cartons de CDs trop longtemps oublié. Merci.
 
 
 
Voilà !
 
Et je vous vois venir, lecteur !
« 5 liens, et peu d'émoi, je m'en vais oublier Inedire en quelque cul de basse fosse amnésique avant que son retour ne (re)devienne pour moi une salle habitude », vous dites-vous.
Ma sœur, mon frère, tel l'éléphant de Silésie orientale : tu te trompes. Accorde-moi le crédit de quelques lignes supplémentaires, et tu comprendras combien cet espace est sexuellement abordable banal. Car oui, ici aussi, le meilleur est pour la fin. Foin de lectures iconoclastes, de regards assoiffés de découvertes. Voici la vérité. Voici le lien qui fait du bien.
 
 
 
« Sexy Sandra » (sic)
Parce qu'un ordinateur de garçon sans greluche, c'est un ordinateur homosexuel et parce que je n'ai pas encore cédé aux nombreuses avances dont je suis pourtant l'objet. Sandra, elle est là pour ça. Elle est la garante de mon hétérosexualité numérique.
 
J'en profite pour souhaiter à ma maman, si devanture d'aventure lui prenait l'idée de pirater un jour mon ordinateur ou le vôtre, qui pourrait la mener ici, un bon anniversaire en ce 31 août 2006*(4) ! 
 
 
  
Je vous épargne la république des livres de Pierre Assouline  , Technologies du langage de Jean Véronis , le Presse-papiers d'Anne Kerloc'h (Elle est trop jolie sur la photo) ou un fantaisiste de graphiques puisque Philipe Douste-Blazy évoque désormais en moi, et irrémédiablement depuis ce 15 août qui fut fatidique : l'Aristcocèle . C'est prouvé : avec une nouille pareille au gouvernement, l'intelligence ne peut plus être en vente libre.
 
Cela écrit, si quelqu'un dispose du blog intime de Marie Drucker, je signale que je suis prêt à vous prêter mon corps, avant que de le céder à la donzelle présentatrice tardive, j'espère durablement ...
 
C'est tout !
 
 
 
Bonjour chez vous !
 
 
 
AnT, de chez Smith en face, mon programme : un blog, un jour, un lien !
 
PS : si vous êtes restée jusqu’ici, vous méritez bien ce bonus que n'auront pas les autres fainéants de lecteurs. Il s’agit d’une petite histoire que je viens de bricoler, et qui pourrait vous plaire :
 
José n'a jamais eu de chance. La preuve, pour son dernier anniversaire, José a eu... le cancer© !
*(0) Après le BLOGDAY : Bientôt : le "jour des femmes battues", mesdames, patientez sans crainte...
*(1) Gardez en mémoire qu'Inedire fut en son temps sélectionné « saveur de Blog du 21ème siècle » par un jury d'éminents vendeurs à la télé spécialistes, un peu comme une lessive...
*(2) aucun rapport avec la « Olivia, la femme chocolat ». L’ami chocolat dont il s’agit ici était Un fondant. Et de la meilleure espèce !! Paix à son âme, et à mon estomac, aussi, parfois.
*(3) contrairement à Inedire, disent les mauvaises langues, que je n'ai pas goûté…
 
*(4) Jour en lequel j'écrivais ces lignes...
 
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4 septembre 2006 1 04 /09 /septembre /2006 13:27
 
 
Photo de pauvre : si c'est moi qui l'avais pris, j'eu au préalable nettoyé les ongles...
 
 
Chers voyeurs écran-spectateurs,
 
 
Il m'arrive de me demander. Parfois même, mais plus rarement : il m'arrive de me répondre.
Et puis il y a ces phrases qui éclosent comme les bulles d'air à la surface de l'eau.
 
Alors, parfois, on se tait, et on regarde.
Et on file un coup d'coude à la voisine, genre :
- Toi aussi ? Qu'on lui demande... Et elle de répondre :
- Oui ! ;-)
 
Voici la dernière fantaisie interrogative ainsi née, ici partagée avec vous :
 
« Si on ne prête qu'aux riches, que reste-t-il pour les pauvres » ?
 
Je sais : nous frolons l'aphorisme. Mais je vais devoir nier : je n'ai pas mon permis de concevoir des aphorismes. Cela étant, si sur cette interrogation vous avez des pistes à me proposer, je suis preneur !
 
 
 
Bonjour chez vous...
 
 
 
AnT, de chez Smith en face
xxx
 
 
*(1) My blog is rich, contrairement à Jean Roche, qui est tailleur; mais sa boutique est là, c'est le principal. (Triple jeu de mots, mais chacun aura compris que je ne vise non la qualité, mais la quantité. M'enfin !!)
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3 septembre 2006 7 03 /09 /septembre /2006 18:49
  
Les nouveaux venus sont priés de se rendre en « salle des explications préalables » accessibles en suivant ce lien, pour appréhender sereinement ce qui va suivre*(1).
 

Je refuse de commenter une image exposant la nudité de l’homme-enfant.

 
Chers voyeurs écrans spectateurs,
 
 
 
Il est un reproche récurrent que vous m'adressez au travers de vos courriers nucléaires électriques électronique ta mère : pourquoi ce refus constant de céder à la facilité scatologique et au sous-entendu sexuel ?
 
Je ne vous répondrai pas, car je n’en ai pas envie.
 
Néanmoins, je l’admets : il fut un temps ou ce blogue racolait comme d'autres votent : sans réfléchir.
 
 
Ce fut ainsi le cas dans l'article 25, sobrement intitulé « sperme ta gueule » (sic), publié le 21 octobre 2005. C’est cet article que je vous invite aujourd’hui à (re)découvrir.
 
Attention ! Je dois prévenir les plus sensibles des lecteurs ici égarés que ledit article comporte des abats de vrais morceaux de Michel Delpech (mais pas de scoop le concernant), une remontrance à Clara Morgane, de la confiture, quelques sarcasmes à consonance footballistique*(2), ainsi qu’une franche affirmation sexuelle dédiée à Oscar Wilde.
 
Vous pardonnerez le caractère très oral de ce scribouillage passé : j'apprenais alors à écrire et n'étais pas encore ce prodige lexico-épithétique que je m'enorgueilli d'être devenu, à la seule force du poignet et malgré des handicaps neuronaux qu'on ne rencontre normalement que devant les caméras de télévision (ou au micro de France culture, les jours ou Jean-Claude Van Damme*(3) est invité).
 
 
Je vous accorde deux minutes pour le lire, et autant pour le colorier. Après quoi : un suppo une tisane et au lit.
 
 
 
Bonsoir chez vous...
 
 
 
AnT, de chez Smith en face, spermiculteur agréé, mais non conventionné
xxx
 
 
PS : Pour ceux qui ne connaissent pas encore l'immense Philip K. Dick, qui inspira de ses nouvelles des films comme « Blade Runner » ou « Minority Report », vous pouvez acquérir au plus tôt, pour commencer : « Le maître du haut château » et « Ubik »…
 
*(1) Si la maison offre le service après-vente avant-clic, vous êtes tout de même conviés à utiliser vos votre neurone par vous-même.
 
*(2) Je le signale pour les épéistes qui s'escriment sans succès à comprendre ce sport étrange qu'est le football
 
*(3) Philosophe belge bercé trop près du mur. Bien trop près.
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2 septembre 2006 6 02 /09 /septembre /2006 12:58
Avertissement :
ce blogue contient une note de bas de page dans une autre note de bas de page.
 
 
 
Chers voyeurs écrans-spectateurs,
 
Avec certes une périodicité que les plus quotidiens de nos journaux du dimanche samedi, quand ils ne sont pas en grêve, n'hésitent plus à qualifier - je cite - d'aléatoire (cf. la dernière publication dans « Le chasseur français »), j’ai le plaisir de vous présenter le retour de la rubrique vidéo hebdomadaire : Inedire TV (un truc un peu pirate : SACEM, je n'aime que toi... Mais vach’ment plus select en fait : un genre de club où VOUS êtes conviés…)
 
Depuis le dernier épisode, donc, de cette rubrique balbuchiante balbutiante (dont la périodicité je le signale ici est aussi irrégulière et aléatoire que le sont - au hasard les tortues de mer hydrocéphales ET bisexuelle des Galápagos ou - satané hasard - les exhibitions complaisamment reproduite des louloutes du ministre de l'Intérieur de l'UMP lui-même, actuellement attaqué par sa droite par un québécois chauve en retour d'exil, sinon en rupture de ban, et par sa gauche molle par un belge sourd hydrocéphale de l'oreille gauche (et c'est con-tagieux) exposant pour mémoire et en exclusivité sur Inedire (« pas à côté, pas en dessous (...) ») il y a quelque temps maintenant (je suis à la pointe du raz de l'info) autant son programme politique que la teneur en alcool de son dernier éthylotest, lui-même homologué, tout se tient, par le susnommé nain ministre aux brushings douteux d'origine hongroise par les parents, et noble par le hasard.
 
  
Trois petites découvertes au programme de ce jour :
 
Tout d'abord Mozinor, alias Geronimoz (comme disaient les Apaches assaillis chez les hyènes)
 
Attention ! Veuillez rapprocher les enfants de l'écran. En effet, la vidéo qui va suivre contient un monologue « sexualy explicit », comme me le souffle du haut de son bunker à l'oreille Mère Thérésa qui, chose curieuse, n'eut jamais (à ma connaissance) d'enfants à elle avec titre de propriété pour justifier l’accollation de cet odieux qualificatif maternel à côté (« exactement juste en dessous (…) ») de ce si doux prénom.
 
Ensuite, le « p'tit Groland qui fait du bien », avec au menu une serviette hygiénique bio qui me fit songer avec le plus grand sérieux à consacrer plutôt ces heures scripturalement improductives que je vous accorde ici, à l'élevage du « mille-pattes de Picardie », avant que de me raviser finalement, devant la qualité manifeste des productions chinoise*(1) à bas coût (alors qu'elles sont de Chine, quelle ironie*(2) !
 
Précision : cette vidéo est publiée avec l'accord de Nicolas Delestat, sommité mondiale en matière de  « vampirisés agressivus », et détenteur des tentations de tentes des droits.
 
 
Et enfin last, but not le dernier : Monsieur Bruce.
Pour le seul plaisir qu’Il est d'une générosité confondante, rare autant que Nouvelle-Orléanaise :

Vidéo envoyée par Inedire
 
 
C'était tout ! Bonjour chez vous...
 
 
 
AnT, de chez Smith en face vidéaste vidéovore à mateurs
xxx
 
 
 
PS (le centre de la gauche) : lors du précédent numéro, vous avez été injustement privés de la vidéo de Kaamelott concernant la « Grelotine » : « Perceval relance de 12 ». Elle fut censurée par DailyMotion. C’est pas ma faute à moi s’il y en a qui on froid.
 
PPS (la droite de la gauche) : je suis superfier du titre de ce Billet de la banque de l’humour 137ème dénombré, et j’espère bien être surpuissant : un « ouf’ malade ».
Explication en images :
 PPPS (l'extrême droite de la gauche) : le concours cours toujours ^^

Au dela de la magistrale leçon de géographie, furent cités ou évoqués par inadvertance dans cet article : Serge Gainsbourg, Maman Mère Thérésa, Le grand détournement, la Picardie, Les Restos du poumon gauche coeur, Kaamelott. Aucun animal ne fut blessé, et Vodka est encore chaude sur mes genoux.

*(1) Oui je sais, ici se cache une faute d’orthographe. Mais comme le correcteur est en vacances, le photographe se tape ma sœur, je vous tape sur les nefs et tout le monde tape dans ses mains, nous allons la laisser, la faute d’orthographe, hein. C’est moi qui décide d’abord d’amilieu dabeurrr)
 
*(2) Décryptage pour les moins comprenants, ou les improbables abonnés à « canal + de foot » trop habitués à ce que le travail leur soit mâché : Bakou*(3) est la capitale de l'Azerbaïdjan, pays réputé auprès des joueurs de scrabble, mais beaucoup moins auprès des joueurs de belote, à mon grand désespoir. Donc, la production, à bas coût, en Chine, c’est surprenant. CQFD. Taisez-vous, et laissez faire l’artiste !
*(3) 1.9 millions d'habitants et trop très peu de français, finalement.
 
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1 septembre 2006 5 01 /09 /septembre /2006 22:03
 
Schwarzenegger (mot compte triple) n'était pas libre de droit pour illustrer « le retour de la bête ». Aussi, faute de moyens, j’ai kidnappé une affiche quasi vénitienne. Vous comprendrez.
 
Chers voyeurs écrans-spectateurs,
 
Ainsi que vous l'avez constaté, vous qui furent pléthore nombreux quelques-uns à visiter ces pages au long des deux derniers mois*(1) et les trouvèrent longuement inchangées : je me complaisais avec constance dans un silence estival aussi assourdissant qu'un bilan électoral de plaisir une veille de scrutin.
 
Les meilleurs silences ont pourtant une fin.
 
J’apporte ici une mauvaise nouvelle pour les fonctionnaires des impôts mes anciens employeurs dont je pourrais dénoncer les sombres agissements Riri, Fifi, Loulou mes possibles détracteurs : je ne suis pas mort. Non. Toujours pas. Pas encore. Contrairement à, au hasard : Napoléon ou Bernard Rapp, pour ne citer que les plus vivaces en nos mémoires des présentateurs télévisés refroidis.
 
Je suis même si peu mort que je reviens ! Si !! Tout comme Lionel J’ose pas Jospin, mais en mieux, car je n'étais, pour ma part, jamais vraiment trotskiste parti.
 
Ainsi, c’est non sans une incommensurable fierté exhibitionniste et, certes, légèrement fanfaronne, que j'ai le plaisir de vous proposer un défi petit jeu qui pourrait m’exposer au plus sordide ridicule, si je n’étais doté d’un membre absolument d’une inconscience totale.
 
Je me propose en effet d’offrir à la personne qui déposera le 74ème commentaire à cet « article », en exclusivité jusqu’à sa publication espérée programmée pour lundi courant, un « billet » aussi inédit qu’ absolument sensationnel dans lequel il sera question, notamment : de mort, d’antisémites, de Monsieur Bernard Rapp, d’extrême gauche et de Louis-Ferdinand Céline*(2).
 
Avec de 143 à 308 visiteurs distincts par jour entre juillet et août, cela ne me semble pas hors de votre portée : vous pouvez le faire. Il vous faut juste décider de libérer votre doigt engourdi de l'orifice naturel en lequel il sommeille pour réagir à ce « billet ». Vous pourrez alors faire fierement la une de Paris-Match gagner le privilège lectoral ici offert sans pudicité excessive.
 
Libre à vous, ensuite, de flamber devant vos copains, vos premiers ministres, vos femmes de ménage, vos parents, le ministre de l’Intérieur, celui du postérieur si son antérieur est malade, que sais-je moi !! Vous pourrez clamer au monde, à la ville, à Ubu, à Urbi ou Orbi même pour les plus latinistes, que vous vous enorgueillissez la grand voile de pouvoir disposer à votre convenance de la primeur d’un article d’Inedire.
 
Soit écrit en passant, je vous fais remarquer que même Youri Gagarine, qui tourna pas mal en rond avant de s’écraser dans un champ carré, ne put jamais en dire autant, lui, et s’emporta contre le vent.
 
Voilà.
 
Et à ceux qui m'estiment déraisonnable audacieux, je répondrais, une fois n'est pas coutume avec cette noble sobriété qui parfois, me rapproche de l'abbé René*(3) : « oui, c'est vrai, je suis un peu audacieux ».
 
Et aux autres qui pensaient que j'allais leur foutre une paix « Royale » (sic) : vous vous méprenez : je ne suis pas assez socialiste pour cela.
 
Bon. Il faut que je vous laisse. J’ai comme qui dirait écrirait un article à terminer de toute urgence, car je suis optimiste, à défaut de vous mener en bateau.
 
La médecine n’étant parvenue à se débarasser de moi : Inedire est vivant, et la boutique rouvre : c'était cela le message.
 
 
 
Bonjour chez vous…
 
 
 
AnT, de chez Smith en face, back in town.
xxx
 
PS : Je sais, je suis récidiviste en matière de défis imbéciles. Mais tout le monde n'était pas là au début, j'te f'rais dire.
 
PPS : Pour calmer par avance les velléités de « cliqueuse psychopathe » du crustacé nordiste femelle dont les exploits demeurent accessibles en suivant le lien proposé dans le premier Post restante Scriptum de cet article, je précise, en vous demandant de bien vouloir considérer cela ceci comme l'extrait majeur du règlement de ce concours qui n'en est pas un, que le vote multiple, à l’instar de la prise éponyme, est interdit. Ces votes multiples ne seront donc pas comptabilisés par notre huissier, ancien tortionnaire sud-américain préférant, malgré une solide réputation qui fit sa gloire (sic), conserver l'anonymat. Sachez juste qu'il fut surnommé par ses victimes clients, je le rappelle incidemment et pour mémoire : « le bourreau masqué*(4) à la perceuse électrique ».
Vous pouvez néanmoins, pour augmenter vos chances, faire voter vos parents et v os animaux de compagnie : ils n’ont qu’à poster un commentaire ici même.
 
 
BONUS (une donnée certe fort relative)
 
Voici en bref un florilège de ce à quoi vous avez échappé belle cet été :
 
Le restaurant libanais, le refus des Israéliens d'utiliser la méthode contraceptive dite « du retrait », des considérations de jardinage par un type extraordinaire moi qui déteste le jardinage, des considérations sportives sur le V.T.T., la Normandie, les bottes en Normandie, la pluie l'herbe si verte qu'on ne la trouve qu'en Normandie, et puis une photo de moi, nu, en compagnie d’une personnalité considérable, aussi... Cela étant : tout n’est pas perdu, car je suis parvenu, après deux mois de ténacité, à convaincre Lionel « j’ose pas » de blogguer. Quel bonheur d’être persuasif !! (je précise que la personnalité connue évoquée si dessus n’est pas un grisonnant socialiste à poil frisé, ni un exilé quebecquois chauve à bordelaise assortie : merci de votre compréhension).
 
Allez ! à vos commentaires !!

*(1) 12 880 visiteurs uniques (sans compter les visiteurs qui n’ont pas niqué) ayant vu, pour certains les yeux fermés, 56 306 pages à colorier, ici langoureusement offertes.
 
*(2) Sous réserve que d’autres fantaisies ne me viennent à l’esprit dans les heures qui vont suivre.
 
*(3) Le cousin si pudique de l'abbé Pierre qu’il ne fait même pas parler de lui, le bougre.
 
*(4) La première, le premier qui se permet de relever le pléonasme se mange, direct, un coup d'lance flamme au tétanos dédicacé par mes soins à la gazoline normande.
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31 août 2006 4 31 /08 /août /2006 02:23
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Inedire...

Guigner

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Inedire est dédié à la mémoire de Roger Desjardins   


"C’est très beau un arbre dans un cimetière. On dirait un cercueil qui pousse."
(Pierre Doris)

Club privé, exhibitionniste



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Si vous connaissez un homme de l'art (de la gaudriole à tendance pas trop sérieuse) professionnellement hétérosexuel (de préférence) et tout disposé à sortir de l'indigence financière en laquelle l'enlise son peu d'études l'auteur, réalisateur et interprète de ces lignes, n'hésitez pas, je vous prie, à lui transmettre mes coordonnées... Inedire [at] hotmail.fr. Merci ! échantillons disponibles 

Je suis plus beau que Charles de Gaulle ... Et moins mort, aussi !

 

 

 
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Il y aurait actuellement    cellules cancéreuses dans votre corps, dont   qui viennent de se réveiller...  Mauvaise nouvelle, nope ?



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